Piégée par le BDSM et la honte de notre vie

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il y a 6 ans

Nous sommes des coquins, mon mari est dominateur de nature et j’aime m’abandonner à lui. Quand je dis que j’aime m’abandonner à lui, j’aime tant les bondages et le BDSM que je vais jusqu’à le provoquer. Parfois je suis punie et j’ai mal aux fesses, parfois cela lui donne des envies et j’ai ma « ration » journalière de sensations et plaisirs.

J’ai fini par lui avouer et je me fais parfois des trucs toute seule et que je m’attache pour le plaisir. Mon Maître m'a grondée punie et fessée pour ne pas lui avoir demandé la permission. Il n’était pas contre mais à ses yeux, une soumise ne doit pas jouir sans la permission de son Maître. Ce jour là, il m’a installée sur l’accoudoir du canapé fesses en l’air avec la terre quasiment par terre. Il m’a menottée les mains devant pour que je ne puisse pas essayer de protéger mes fesses avant d’aller cherche son paddle Saku et me disant de méditer.... Sa fessée m’a explosé les fesses, j’ai vraiment dégusté un maximum et, cette fois, je n’ai pas aimé les marques que j’ai gardées toute la semaine. D’habitude j’aime bien avoir quelques marques, là, elles m’ont rappelé ma punition.

Depuis cette date, je ne fais rien sans son accord que j’ai presque à chaque fois. Il veut savoir à l’avance ce que je vais faire, à la fois par sécurité, à la fois parce que cela l’excite pendant sa journée. Il rajoute quelques fois des trucs en plus à mes projets de selfondage et plaisirs solitaires.

Comme nos jeux semi virtuels se sont encrés dans nos habitudes, il m’envoie parfois des textos pour me donner des ordres du type : fais-toi belle (ça signifie presque sans vêtement) et attache-toi fesses offertes dans l’entrée avec tel ou tel accessoire. Quand il arrive le soir, sa soumise est trempée d’impatience et d’excitation comme il me l’a demandé. Il me martyrise un peu puis me baise comme une esclave offerte à son plaisir. J’adore être sa chose, son jouet, c’est comme ça et j’assume.

La semaine dernière, Maître m’a fait un planning pour la semaine avec des consignes pour chaque jour.

Lundi, faire des selfies de moi faisant le ménage avec des pinces à sein.

Mardi faire des selfies de mon repassage avec un plug dans chaque orifice.

Mercredi aller le rejoindre au resto avec les doubles oeufs vibrants (il avait pris la télécommande)

Jeudi soir entravée sur une chaise couchée dans l’entrée avec le cul offert.

Vendredi soir l’attendre menottée debout sous la poutre avec son fouet bloqué dans mes dents et des pinces à sein sur les tétons et aux lèvres.

Tête de linotte, je me suis plantée sur les jours et, là j’ai bien « merdé » !!!!!

Le mardi, j’ai fait ce que Maître m’avait demandé pour le jeudi soir. Comme toujours, j’ai fait un ice-timer au cas où il aurait un problème. J’ai couché une chaise dans l’entrée et tout préparé y compris la dernière tenue qu’il m’a offerte qui expose le corps plus qu’elle le cache. Après avoir mis un cousin pour mes genoux, j’ai attaché mes chevilles aux barreaux et menotté mes poignets aux barreaux des pieds de la chaise. Pour faire du zèle et lui faire plaisir, je m’étais logé un plug dans les fesses, j’avais posé des pinces à sein gentilles et je m’étais bandé les yeux.

Totalement offerte à sa merci, je patientais tranquillement en m’imaginant des choses..... Je me serais aussi bien caressée pour..... patienter, mais les menottes ne me le permettaient pas. Sage comme une image, sa chose l’attendait. Lorsque j’ai entendu sa voiture, je montais dans les tours sur le compteur de l’excitation. J’adore ce moment où ce qu’il reste de ma pudeur génère un brin de honte délicieuse. Le bruit de la serrure sonnait le glas pour la pauvre petite esclave qui n’attendait QUE SON MAITRE !

  • Putain de toi, qu’est-ce que tu fous ! A crié Maître avec une voix colérique que je ne lui connaissais pas avant d’ajouter : « excuse-moi, ma femme a parfois des lubies ». Allons directement dans mon bureau je te prie, je reviendrai gérer ça plus tard.

Et là, j’ai compris mon erreur. Je m’étais plantée de jour et il n’était pas seul. En fait, il était venu avec un des informaticiens de sa société pour un souci sur son ordinateur. J’étais mal de chez gravement mal et même « encore bien plus d’avantage que ça ». Mon excitation s’est envolée, la honte m’a submergée. Trois minutes plus tard, il est venu me libérer « à l’arrache » et m’a annoncée que j’allais morfler avant de me dire de tout ranger et de m’habiller correctement pour venir leur servir l’apéro dans son bureau.

Moi j’aurai préféré me cacher dans la chambre sous le lit plutôt que, de leur servir l’apéro et de me retrouver en face du mec qui m’avait vue pire que nue et avec un plug dans les fesses. N’ayant pas le choix, hormis celui de prendre le risque d’augmenter sa colère, (il vaut mieux éviter...) je suis allée leur demander ce qu’ils voulaient boire, j’étais rouge de honte, j’avais du mal à parler et à les regarder. Lorsque j’ai fait le service, je n’ai pas traîné ni même essuyé le petit débordement de la carafe sur le plateau. Enfermée dans la chambre, j’attendais comme le condamné dans le couloir de la mort en me rongeant les phalanges, les ongles n’ayant pas résisté.

Une heure plus tard, c’est très long une heure dans ces conditions là, il m’a appelée dans son bureau. J’avais peur de revoir l’informaticien mais il était parti. Maître était assis à son bureau quand je suis entrée.

  • Position 6 au milieu de la pièce et face au bureau !

Sans discuter et le plus vite possible, je me suis mise nue et en position 6 sans même pouvoir croiser les doigts ni joindre les mains pour prier.

  • Te rends-tu compte que tu m’as fait la honte de ma vie. Si ce mec parle, on va avoir l’air de quoi ? Certes il m’a promis de ne rien dire en ajoutant que chacun fait ce qu’il veut de sa sexualité. Comme il était plié de rire, nous sommes passés pour des cons.

  • Je me suis trompée de jour Maître et vous présente mes plus plates excuses.

  • Ah ça je sais que tu t’es trompée de jour et tes excuses ne suffiront pas !

  • Punissez-moi Maître, faites ce que vous désirez.

  • Punie tu vas l’être mais pas ce soir, je suis trop en colère et risquerai de te blesser. Avant de t’appeler, je t’ai commandé une ceinture de chasteté et crois-moi tu vas regretter tes actes bien plus longtemps que si je te donnais 100 coups de fouet.

Sur ces mots, il m’a envoyée faire la cuisine et obligée à sortir de son bureau à quatre pattes comme une « chienne en chaleur ».

La ceinture de chasteté est arrivée rapidement, depuis jeudi soir je suis sous ceinture de chasteté 24 heures sur 24.

Il m’a annoncée qu’il profiterait de ma bouche pour se soulager pendant 15 jours et que je serai privée de tout jeux et tout plaisir hormis essayer, avec ma bouche, de me faire pardonner. Et là, je n’en peux plus. Des envies de folies me submergent, mes mains n’arrêtent pas de me toucher, enfin, de toucher le métal. J’ai bien essayé de me masturber en passant le doigt dessous mais je n'y arrive pas. Je deviens dingue.

Ecrivaillon

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